Frédérique BEAUVOIS
Historienne
- Doctorat ès Lettres (UNIL et Sciences Po, Paris)
- Diplôme d’études avancées en administration publique, Institut des Hautes Etudes en Administration Publique (IDHEAP), UNIL.
- Certificat d’études avancées en gestion financière en administration publique, IDHEAP, UNIL.
- Présidente de l’association des Parents d’Elèves de Renens (APé1020)
- Présidente de l’association de défense des restaurateurs #quivapayerladdition ?
- Membre du Conseil d’Administration de la Société Coopérative d’Habitation de Renens (SCHR)
- Membre de la Chambre consultative de la Fondation vaudoise pour l’Accueil de Jour des Enfants (FAJE)
- Membre du comité de l’APé Vaud, responsable de l’Observatoire du parascolaire
- Membre du Comité du Groupe d’Intérêts de Florissant (GIF)
- Membre de la Commission pour la santé sexuelle et la médecine axée sur le genre, Session de Femmes 2021
- Membre du Comité de l’Association Tourette-Romandie
- Secrétaire Générale de l’Association des Vilaines Lavandières
Egalité, équité, solidarité, durabilité, voici les quatre points cardinaux qui orientent mes combats.
L’égalité, quelle que soient le sexe ou le genre, l’origine ethnique ou sociale, les affinités sexuelles ou religieuses, la profession ou les revenus. C’est là une valeur essentielle de mon action. Il faut se battre – toujours – pour que chaque individu soit respecté contre la discrimination.
L’équité, parce que les écarts de richesse ne cessent de s’accélérer et que les plus riches bénéficient toujours d’un traitement différent des plus précaires. Parce qu’il n’est pas normal que certains continuent de s’enrichir tandis que d’autres ne savent pas comment ils mangeront demain.
Solidarité, car je sais que s’il est possible d’être très bon tout seul, nous ne sommes jamais meilleurs qu’à plusieurs. Parce qu’il faut donner une voix à ceux qui n’en ont pas. Parce qu’une société à deux vitesses ne va nulle part.
Durabilité, parce qu’il n’y a pas de société sans développement durable. Pollution et réchauffement climatique impactent nos vies, tandis que les bouleversements climatiques se multiplient. Et ce seront à nouveau les plus vulnérables qui paieront le prix fort, en Suisse ou ailleurs.
Mes combats se traduisent toujours en actions concrètes. Du parascolaire dans un quartier où il n’y avait rien, un camp de foot accessible pour toutes les bourses, une demande PNR en médecine genre pour des soins médicaux non-stéréotypés, une motion pour des assises du développement durable visant à offrir la parole à ceux qui descendent dans la rue pour alarmer sur l’urgence climatique, une présidence de la commission Economie PSV pour contrer les velléités de baisse d’impôts d’une droite qui ne songe qu’à avantager ceux qui en ont le moins besoin, la création d’un collectif de restaurateurs pour défendre ceux qui subissent la crise de plein fouet.
Je suis issue d’un milieu dans lequel rien n’était donné. J’en ai fait une source d’énergie inépuisable. L’injustice m’empêche de dormir, l’engagement me redonne foi. Je suis fière d’être socialiste !
Mais nous avons encore beaucoup à accomplir. Nos conseillères d’Etat font un travail admirable. Il faut un législatif fort pour les soutenir. Ce serait un honneur de poursuivre mon engagement comme députée de l’Ouest lausannois. Et cette bataille contre l’injustice, c’est l’essence de ma motivation pour me porter candidate.